Cadre sectoriel de dialogue, Culture, Sport et Loisirs : Les acteurs évaluent leur rapport à mi-parcours 2020
Les acteurs du Cadre sectoriel de dialogue (CSD), Culture, Sports et Loisirs se sont réunis dans la matinée du 10 août 2020 à Ouagadougou pour examiner et valider le rapport de performance à mi-parcours de l’année 2020.
Le Cadre sectoriel de dialogue (CSD), Culture, Sports et Loisirs est le dispositif de suivi évaluation et de mise en œuvre du Plan national de développement économique et social (PNDES), au niveau du secteur de planification culture, sport et loisir. La revue à mi-parcours qui se tient, à en croire le ministre des Sports et des Loisirs, Daouda Azoupiou, par ailleurs Vice-président du CSD, Culture, Sports et Loisirs, est « une opportunité donnée à l’ensemble des acteurs de la culture, du tourisme, des sports et des loisirs, d’évaluer les contributions dudit secteur à l’atteinte des objectifs sectoriels du Plan national de développement économique et social (PNDS) pour le premier semestre de l’année en cours ». Il s’agira spécifiquement, à l’entendre toujours, d’examiner les performances sectorielles au 30 juin 2020 ; l’état du fonctionnement du CSD ; les recommandations des revues sectorielles et du PNDES ainsi que les perspectives pour le reste de l’année 2020.
MSL, M. Azoupiou (milieu)
« Vous savez que l’année 2020 est une année spécifique parce que nous avons tous été affectés par la maladie à coronavirus. Cela a entraîné un certain nombre de difficultés notamment au niveau donc de la mobilisation des ressources … », a expliqué M. Azoupiou. Ce cadre de concertation permettra alors, a-t-il souligné, de tirer aussi les enseignements nécessaires et de faire une projection pour la période restante 2020, tant dans le secteur de la culture que celui des sports et des loisirs. « Nous allons voir ce qui reste à faire pour aller très rapidement pour pouvoir élever les taux d’exécution qui, lorsqu’on regarde sont relativement faibles par rapport donc à nos ambitions », a confié le ministre.
Il a ouvert officiellement les débats qui devront permettre de donner des orientations assez claires et assez précises sur ce qui reste à faire pour atteindre les taux à la hauteur de leurs attentes.
Malick SAAGA
