Culture et médias : La ministre Elise Ilboudo prête l’oreille attentive aux journalistes et animateurs culturels

Culture et médias : La ministre Elise Ilboudo prête l’oreille attentive aux journalistes et animateurs culturels

La ministre de la Culture des Arts et du Tourisme (MCAT), Elise Foniyama Ilboudo/Thiombiano, a prêté une oreille attentive aux journalistes et animateurs culturels, dans l’après-midi du 26 février 2021, à Ouagadougou pour mieux s’enquérir de leurs préoccupations.

Dès sa nomination à la tête du ministère de la Culture, des Arts et du Tourisme (MCAT), Elise Foniyama Ilboudo/Thiombiano, a entrepris de rencontrer tous les protagonistes, publics et privés de son département. C’est dans cet élan qu’elle a échangé avec les journalistes et animateurs culturels autour d’un déjeuner de presse, à l’Espace Morène. « Tout travail est une chaîne. Si vous pouvez venir vers nous pour souvent poser des questions, nous pouvons également aller vers vous pour savoir ce que vous vivez, pour mieux vous comprendre et aussi nous imprégner des difficultés que vous avez dans votre travail, afin d’avoir des pistes de résolution », a-t-elle expliqué.

La ministre (milieu) était accompagnée de ses collaborateurs

En écoutant les différentes préoccupations truffées de doléances surtout, la ministre a promis de prendre attache avec ses services techniques et de voir dans quelle mesure son département pourrait accompagner davantage ces hommes et femmes de médias qui se sont investis pleinement dans la culture. A l’entendre toujours, « il n’y a pas eu de problèmes vraiment très forts qui ont été posés ». Effectivement, la plupart des interventions relevaient l’absence de formation des journalistes et animateurs culturels, les questions de décoration, l’accès aux fonds disponibles pour soutenir les actions culturelles et touristiques, etc.

La plupart des journalistes et animateurs culturels étaient présents

La cheffe du département de la culture, a exhorté les journalistes et animateurs culturels à s’ériger en association. Car, elle estime qu’il serait plus facile de bénéficier des subventions auprès de ses établissements dont le Fonds de Développement Culturel et Touristique (FDCT). « Autant nous devons vous prendre en charge par ces subventions, autant il vous revient également de mieux vous organiser pour en tout cas, pouvoir bénéficier de ces fonds », a-t-elle mentionné. Pour ce qui est de la formation, elle a laissé entendre que ses services techniques vont se pencher sur la question.

Malick SAAGA     

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