1ère session ordinaire du Conseil d’administration du FDCT de l’année 2025 : Le quorum se penche sur l’examen des états financiers
Le Conseil d'administration du Fonds de développement culturel et touristique (FDCT) s'est réuni ce 24 avril 2025 à Ouagadougou. Les participants, plus d’une dizaine, se sont penchés sur plusieurs points inscrits à l'ordre du jour de cette première session ordinaire de l'année.
Dans les statuts du Fonds de développement culturel et touristique (FDCT), il est prévu deux sessions dans l’année, selon l’explication du Président du Conseil d’administration (PCA), Gaoussou Touré. Il y a, indique-t-il, une session budgétaire pour présenter les ambitions du FDCT et une session consacrée à l’examen et à l’adoption des états financiers, des rapports d’exécution, des programmes de travail, etc. « La session d’aujourd’hui est la session qui est consacrée à l’adoption et à l’examen des états financiers. C’est extrêmement important de vérifier que l’entité (ndlr FDCT) a été bien gérée », a-t-il confié.
PCA du FDCT, Gaoussou Touré
Les participants, plus d’une dizaine, se sont alors penchés sur une douzaine de points pour examen et adoption. Il s’agit du procès-verbal de la session de décembre 2024; du rapport d’activités gestion 2024; du rapport d’exécution du budget gestion 2024; du bilan et compte de résultat gestion 2024; du rapport d’audit interne; entre autres.
On inscrit, en outre à ces différents points la notation de la directrice générale du FDCT, Fiohan Caryne Traoré/Beni au titre de l’année 2024 et des divers. « C’est important qu’on s’assure, en tant que membres du Conseil d’administration que l’argent public a été efficacement bien utilisé », a soutenu M. Touré. Lire aussi : https://kulturekibare.com/2024/08/30/session-extraordinaire-2024-du-ca-du-fdct-voici-les-cinq-points-examines-et-adoptes/
Pazouknam Jean-Baptiste Ouédraogo est administrateur représentant la Confédération nationale de la culture (CNC). Membre de ce quorum, il a des attentes. « Pour cette session nos attentes, c’est qu’on puisse reconduire des lignes qui vont dans le sens de la visibilité des actions de la société civile culturelle et aussi des lignes qui puissent nous permettre d’investir vraiment dans la culture afin de promouvoir les industries culturelles et créatives », a-t-il laissé entendre.
Ram OUEDRAOGO
Kulture Kibaré
