Campus pour christ Burkina Faso : DTO outille le personnel en photographie…
Campus pour christ Burkina Faso a initié, du 22 au 26 juillet 2024 à Ouagadougou, une session de formation en photographie, vidéographie, traitement de son et infographie au profit de son personnel.
Pendant cinq jours, le personnel de Campus pour christ Burkina Faso a renforcé ses capacités en photographie, vidéographie, traitement de son auprès du photographe et vidéaste professionnel, Dieudonné Tiempabou Ouoba dit DTO et en infographie avec Mamadou Maré. « Nous sommes venus les accompagner, car nous organisons des sessions de formation à l’endroit des populations. Il y a également des institutions qui nous contactent pour qu’on renforce davantage les compétences de leur personnel en matière de photographie, de vidéographie ou encore d’infographie » a d’emblée expliqué le formateur DTO. Lire aussi : https://kulturekibare.com/2023/07/29/photographie-le-club-des-communicateurs-uamois-a-lecole-de-dto/
La formation s’est appesantie non seulement sur un cours théorique, mais aussi sur des travaux pratiques relatifs au réglage de prise de photo, de traitement de vidéo et de son, etc.
« Ici (ndlr Campus pour christ Burkina Faso), nous faisons régulièrement des lettres de nouvelle pour nos partenaires et nos donateurs. Et on traite les photos qu’on prend car les images aussi parlent et véhiculent des messages », a justifié le directeur de Campus pour christ Burkina Faso, Badiou Nebié.
Satisfait, il reste convaincu que ses collaborateurs pourront désormais mieux traiter une image avant toute forme de communication ou d’envoi des lettres de nouvelle. « Maintenant nous ferons nous-même les affiches pour rendre plus visible notre institution et pour la publicité de notre mouvement. Vous voyez combien ces connaissances nous seront utiles ? », a-t-il renchéri.
A entendre un des participants, Nicodème Kam, cette formation permettra sans doute d’être efficace au travail. Il a par ailleurs salué le professionnalisme et la pédagogie des formateurs. « Ils ont su en peu de temps nous donner le maximum de savoir et on a pu quand même s’en sortir » a-t-il apprécié.
Salif GOUEM (stagiaire)